Ce 1er mai 2025 restera gravé dans les mémoires. À Kribi, au cœur du département de l’Océan, les regards étaient tournés vers un défilé pas comme les autres. Celui du Port Autonome de Kribi. Et en tête de file, un homme, pas en costume-cravate, mais en tenue de travail, truelle à la main : le Directeur Général, Patrice Barthélémy MELOM.
Il n’a pas délégué. Il a marché lui-même aux côtés de ses collaborateurs, humblement, résolument, comme pour dire que la grandeur commence par le sol, par la terre battue, par l’effort de tous. Un message puissant.
Ce 1er mai 2025, le PAK n’a pas seulement défilé. Il a donné à voir une philosophie du travail, un sens profond de l’engagement collectif. Capitainerie, marins-pompiers, aménageurs, personnels administratifs… tous unis, fiers de servir, fiers de bâtir. Et devant le Préfet, autorité principale du département, ils ont fait plus que défiler : ils ont affirmé, en silence, que la vision présidentielle prend corps ici à Kribi chaque jour.
Depuis mars 2018, Kribi n’est plus une promesse : c’est une réalité économique. En sept ans, 1000 milliards de francs CFA de recettes douanières ont été collectés grâce à ce port. Mais le plus beau reste à venir. La Phase II, dont la mise en exploitation est imminente, va tripler les capacités du port. Ce ne sera plus seulement un terminal : ce sera un hub logistique important, un trait d’union entre le Cameroun et le monde, entre le rêve et le réel.
Patrice Melom DG du port de Kribi, truelle en main.
Mais derrière les chiffres et les plans d’extension, il y a des visages. Celui d’un Directeur Général qui croit que l’on ne dirige bien que ce que l’on sert. Ceux des travailleurs, qui chaque jour, déplacent des montagnes invisibles. Ceux des jeunes, qui voient en Kribi une chance, une fierté, un futur.
Car ce projet, c’est d’abord la concrétisation d’une vision : celle de Son Excellence Paul Biya, qui a ouvert la voie d’un Cameroun moderne, industrialisé.
Le Port de Kribi est l’un des joyaux les plus éclatants de cette ambition.
À Kribi, le travail est plus qu’un devoir : c’est un honneur. Les images du Directeur Général truelle au poing nous ont rappelé une chose essentielle : ce pays se bâtit chaque jour, avec foi, avec courage, avec l’aide de Dieu. Oui, la prophétie reçue s’accomplit :
« Ceux qui méprisaient le jour des faibles commencements se réjouiront en voyant le niveau dans la main de Barthelemy. » (Zacharie 4:10)
Le bâtisseurs du port de Kribi, Patrice Melom
À Kribi, la truelle est sacrée. Elle ne sert pas à poser des briques : elle sert à élever un pays. À bâtir une vision. À ouvrir une voie. Ici, on ne parle pas d’avenir, on le construit.